Semaine du 26 décembre 2021.....fameuse année!

En accompagnement d'une terrine de foie gras de canard.

Meursault VV 2013, Buisson-Charles en Mg
La robe est jaune or pâle.
Bouquet de poires mûres, fines épices et fleurs blanches.
La bouche est plutôt droite, franche et salivante de bonne longueur et sans amertume (année 2013). Un vin qui m'a surpris par sa jeunesse.
16,5/20. Dégusté avec les Dunberry hier soir....entre triple vacciné.

Meursault sur foie gras ça fonctionne bien? je n'ai jamais pensé essayer cela.

Frederick Blais a écrit:Meursault sur foie gras ça fonctionne bien? je n'ai jamais pensé essayer cela.

Fred, je pense que c’est un accord classique en Bourgogne selon mes lectures.  Logiquement on suggère du sucre ou de l’acidité pour soutenir le gras, mais marier le gras du vin avec le gras du foie semble fonctionner aussi.  J’aime beaucoup cet accord et contrairement au sucre, ça ne gomme pas les papilles pour la suite du repas si servi en entrée.  Surtout si le vin a également un peu d’acidité.

Stéphanie Chénier a écrit:

Frederick Blais a écrit:Meursault sur foie gras ça fonctionne bien? je n'ai jamais pensé essayer cela.

Fred, je pense que c’est un accord classique en Bourgogne selon mes lectures.  Logiquement on suggère du sucre ou de l’acidité pour soutenir le gras, mais marier le gras du vin avec le gras du foie semble fonctionner aussi.  J’aime beaucoup cet accord et contrairement au sucre, ça ne gomme pas les papilles pour la suite du repas si servi en entrée.  Surtout si le vin a également un peu d’acidité.

En accord complet avec Stéphanie.

Stéphanie Chénier a écrit:

Frederick Blais a écrit:Meursault sur foie gras ça fonctionne bien? je n'ai jamais pensé essayer cela.

Fred, je pense que c’est un accord classique en Bourgogne selon mes lectures.  Logiquement on suggère du sucre ou de l’acidité pour soutenir le gras, mais marier le gras du vin avec le gras du foie semble fonctionner aussi.  J’aime beaucoup cet accord et contrairement au sucre, ça ne gomme pas les papilles pour la suite du repas si servi en entrée.  Surtout si le vin a également un peu d’acidité.

Je suis en accord avec Stéphanie, je préfère les vins avec une bonne structure et surtout une acidité prononcée pour cet accord. J'ai eu une belle experience en Juin avec un Hubert Lamy St-Aubin La Princée 2018 et un plat de foie gras servie avec une gelée de coing entre autre.

Plusieurs sommeliers suggèrent souvent l'accord sauterne et foie gras mais j'ai une préference pour les vins de pailles si je bois un vin liquoreux avec foie gras surtout s'il y a une assiette de fromages sur la table au même moment.

Dagenais, Simon a écrit:

Stéphanie Chénier a écrit:

Frederick Blais a écrit:Meursault sur foie gras ça fonctionne bien? je n'ai jamais pensé essayer cela.

Fred, je pense que c’est un accord classique en Bourgogne selon mes lectures.  Logiquement on suggère du sucre ou de l’acidité pour soutenir le gras, mais marier le gras du vin avec le gras du foie semble fonctionner aussi.  J’aime beaucoup cet accord et contrairement au sucre, ça ne gomme pas les papilles pour la suite du repas si servi en entrée.  Surtout si le vin a également un peu d’acidité.

Je suis en accord avec Stéphanie, je préfère les vins avec une bonne structure et surtout une acidité prononcée pour cet accord. J'ai eu une belle experience en Juin avec un Hubert Lamy St-Aubin La Princée 2018 et un plat de foie gras servie avec une gelée de coing entre autre.

Plusieurs sommeliers suggèrent souvent l'accord sauterne et foie gras mais j'ai une préference pour les vins de pailles si je bois un vin liquoreux avec foie gras surtout s'il y a une assiette de fromages sur la table au même moment.

Simon, je pense que les Français aiment beaucoup les Jurançons moelleux aussi avec le foie gras car sucre mais aussi une certaine acidité. Et évidemment les vins alsaciens, avec ou sans sucre résiduel, surtout avec le torchon.

Stéphanie Chénier a écrit:

Dagenais, Simon a écrit:

Stéphanie Chénier a écrit:

Frederick Blais a écrit:Meursault sur foie gras ça fonctionne bien? je n'ai jamais pensé essayer cela.

Fred, je pense que c’est un accord classique en Bourgogne selon mes lectures.  Logiquement on suggère du sucre ou de l’acidité pour soutenir le gras, mais marier le gras du vin avec le gras du foie semble fonctionner aussi.  J’aime beaucoup cet accord et contrairement au sucre, ça ne gomme pas les papilles pour la suite du repas si servi en entrée.  Surtout si le vin a également un peu d’acidité.

Je suis en accord avec Stéphanie, je préfère les vins avec une bonne structure et surtout une acidité prononcée pour cet accord. J'ai eu une belle experience en Juin avec un Hubert Lamy St-Aubin La Princée 2018 et un plat de foie gras servie avec une gelée de coing entre autre.

Plusieurs sommeliers suggèrent souvent l'accord sauterne et foie gras mais j'ai une préference pour les vins de pailles si je bois un vin liquoreux avec foie gras surtout s'il y a une assiette de fromages sur la table au même moment.

Simon, je pense que les Français aiment beaucoup les Jurançons moelleux aussi avec le foie gras car sucre mais aussi une certaine acidité.  Et évidemment les vins alsaciens, avec ou sans sucre résiduel, surtout avec le torchon.

Ok, je veux du foie gras et un grand vin ce soir!!! Un champagne en puissance comme Drappier Grande Sendrée est aussi très bien avec un foie gras en torchon. J'ai aussi eu la chance de boire un Chateau-Chalon 1975 incroyable en septembre avec un torchon de foie gras aux truffes ... mais la c'est vraiment juste de la décadence!

Je n’ai jamais eu de réel plaisir avec le Domaine des Croix jusqu’à maintenant. Hier, j’ai eu une belle surprise avec son Domaine des Croix Beaune Premier Cru Les Cents Vignes 2012. Rouge framboise d’intensité moyenne légèrement voilé et disque orangé. Le nez s’ouvre sur une pointe d’anis, la cerise acidulée et la fleur d’orangé. Texture suave presque soyeuse encadrée par une jolie acidité sur fond de fruits séchés. Probablement apportés par la barrique que le fruit a réussi à digérer non sans laisser une trace en finale. Un pinot harmonieux qui goûte la fleur d’orangé.

Dernier rassemblement ce soir hors bulle familiale....à voir à 17h.
On ouvre grand ou beaucoup?
Ou les deux!

CR demain.

Du plaisir de fin d'année avec nos amis Élise et Michel.

Je ne sais pas comment était le Clos de Bèze 2005, mais, par un drôle de hasard, nous avons bu hier :

Bruno Clair Clos-St-Jacques gevrey-chambertin 1er cru 2005 : Couleur sombre et brillante, avec une légère évolution au ménisque. Nez qui prend un peu de temps à s’ouvrir, sur des notes de petits fruits rouges et noirs frais, de fleurs, avec de fines nuances d’évolution sur les champignons et de cuir. L’aération et le réchauffement le rendront plus épicé, évoquant le fameux pain d’épices de Dijon. La bouche est superbement construite, puissante, assez large, mais contenue, fraîche et puissante, très longue et dotée d’un superbe éclat et d’une réelle complexité. La finale est traçante, ciselée, précise et salivante, évoquant le positionnement de ce cru sur le coteau en sortie de combe. Un vin que le temps a assagi, mais qui se révèle encore fougueux et dont la longueur, l’harmonie et la précision sont celles d’un grand cru. Excellent, voire plus.

Bien que j’en possède un certain nombre, les vins de Bruno Clair ne sont pas forcément ceux vers lesquels je me tourne en premier en descendant en cave. Alors que j’ai des souvenir exceptionnels des passages de Bruno et d’Isabelle au Québec ainsi que des dégustations au domaine avec Bruno et Philippe Brun, je trouve souvent les vins serrés, tanniques, impressionnants par leur architecture, mais pas forcément réjouissants. Je n’ai pas de mal avec le classicisme, davantage avec je jansénisme. Mais cette fois-ci, on était clairement dans la première catégorie.

Michel Therrien a écrit:Du plaisir de fin d'année avec nos amis Élise et Michel.

Est-ce que j’ai manqué un « dreamer »?  La marche est haute pour ce soir…

Bonne année Michel!

Un dernier soir sans couvre feu et à deux couples......on s'éclate!
Bonne année à toi aussi et à tous.

On dirait qu’on s’est donné le mot pour ouvrir des précieuses !

Château Latour 1991.  Mon bébé a eu 30 ans récemment, c’était une belle occasion hier soir pour souligner l’évènement.  Même si le site internet du Château mentionne que le millésime 91 est une bonne année, nous savons tous qu’il faut tempérer un peu cette affirmation.  Une gelée importante survenue en avril a causé bien des dommages à l’ensemble du bordelais.  Toujours est-il que Latour a tout de même mieux réussi ses 91 que l’ensemble des châteaux.   Les différentes lectures réalisées à gauche et à droite à propos de cette bouteille m’ont laissé dubitatif.  Enthousiasme à ouvrir ce genre de bouteille, suspicieux devant le millésime et son âge disons vénérable.

À l’ouverture, le bouchon sent très mauvais même si celui-ci n’est imbibé qu’à une extrémité.  Le vin a été carafé presqu’une heure et nettoyé de ses dépôts et a été servi 2heures et demi plus tard.  Beau rouge rubis, à peine évolué au ménisque.  Il impressionne par la présence de fruits, de tabac et de cèdre même si olfactivement il n’est pas très expressif, je m’attendais en la présence de notes tertiaires ce qui n’a pas été le cas.  C’est en bouche que le plaisir se présente à son mieux.  Un beau velouté, soyeux à souhait, milieu de bouche dégarnie mais finale des plus intéressantes sur des tanins toujours bien présents mais satinés.  Je m’attendais à une longueur plus courte.  Tant mieux.  93 pts.  Je suis tombé sur une belle bouteille.

Pierre Beauregard a écrit:On dirait qu’on s’est donné le mot pour ouvrir des précieuses !

Château Latour 1991.  Mon bébé a eu 30 ans récemment, c’était une belle occasion hier soir pour souligner l’évènement.  Même si le site internet du Château mentionne que le millésime 91 est une bonne année, nous savons tous qu’il faut tempérer un peu cette affirmation.  Une gelée importante survenue en avril a causé bien des dommages à l’ensemble du bordelais.  Toujours est-il que Latour a tout de même mieux réussi ses 91 que l’ensemble des châteaux.   Les différentes lectures réalisées à gauche et à droite à propos de cette bouteille m’ont laissé dubitatif.  Enthousiasme à ouvrir ce genre de bouteille, suspicieux devant le millésime et son âge disons vénérable.

À l’ouverture, le bouchon sent très mauvais même si celui-ci n’est imbibé qu’à une extrémité.  Le vin a été carafé presqu’une heure et nettoyé de ses dépôts et a été servi 2heures et demi plus tard.  Beau rouge rubis, à peine évolué au ménisque.  Il impressionne par la présence de fruits, de tabac et de cèdre même si olfactivement il n’est pas très expressif, je m’attendais en la présence de notes tertiaires ce qui n’a pas été le cas.  C’est en bouche que le plaisir se présente à son mieux.  Un beau velouté, soyeux à souhait, milieu de bouche dégarnie mais finale des plus intéressantes sur des tanins toujours bien présents mais satinés.  Je m’attendais à une longueur plus courte.  Tant mieux.  93 pts.  Je suis tombé sur une belle bouteille.

Moi aussi, j’ai un bébé qui a eu 30 ans le 21 décembre…mais je n’avais pas de 91 pour fêter ça.  À cette époque, je n’avais pas l’argent et surtout le réflexe d’amasser ces bouteilles. Tu es chanceux!

Finalement je me suis lâché lousse hier soir... un moment donné il faut que cela sorte! Au Portugal on a eu le droit de fêter dans un resto en raison d'un test négatif à l'entrée.

Je suis tombé sur un groupe de vigneron Français au cœur à la fête et au partage.

Première fois que je déguste un Yquem ''déclassé'' la cuvée Sauternes #6 sur 2018 Un peu unidimensionnel mais d'une belle richesse et bien équilibré. Cela me rappelle quelques Sauternes 2004 en jeunesse, moins botrytisé mais très agréable à boire en raison de cette belle acidité. Cette cuvée est réservé aux employés, 25euros.

Une autre belle découverte, Les Côtières 2018, Jasnières, Christine de Mianville: Un super Chenin Blanc issue d'une très lente fermentation et d'un élevage prolongé en vieux foudres neutres. On aurait pu se penser en Bourgogne au premier nez avec cette réduction noble mais en bouche on sent la richesse du Chenin, le vin n'a pas la tension que j'aurais aimé mais tout de même beaucoup de plaisir à boire ce vin qui a de la personnalité!

Aphros, dans le Vinho Verde Continue de me surprendre avec ses vins en Biodynamie, vraiment frais et uniques tant en blanc qu'en rouge, avec beaucoup d'imagination on donne un nouveau souffle à cette région souvent trop unidimensionnelle.

Hier, j’ai ouvert mon chardonnay des Marnes Blanches, le Domaine des Marnes Blanches Côtes du Jura Chardonnay Les Molates 2019. Quel beau vin! Jaune paille assez brillant, nez sur les agrumes, la fleur blanche et la craie. Le tout bascule en bouche où notre langue plonge dans les agrumes dominés par le citron-lime et la pierre à fusil. Elle nage dans une texture suave et acidulée sans excès, saline et d’une belle droiture. Une poussière de craie se dépose en finale et laisse derrière elle un joli goût de noisette. Longueur appréciable et très beau potentiel. C’est vraiment bon!

Aussi, suite aux commentaires de Ludwig, j’ai ouvert mon Clos du Mont-Olivet Cuvée du Papet 2010. J’aime beaucoup ce Châteauneuf et il ne m’a pas déçu. Rouge sang au disque rosé. Nez de fruits rouges confits, de dattes et d’épices. Je peux m’arrêter là, je suis heureuse! Bouche gourmande, généreuse aux tanins fondus d’un équilibre sans reproche. Superbe longueur!

Une belle soirée finalement!

Hier, j’avais le goût de l’Italie…et j’ai ouvert le Pira Luigi Barolo Serralunga 2012. Couleur cerise tendre au disque rosé. Superbe nez de cerises qui mijotent lentement et de roses fraîchement coupées. Bouche fruitée, ronde aux tanins lissés. Jolie amertume en final. Aucune sensation d’alcool malgré ses 14.5 degrés. C’est très bon dans un style moderne.

La Vizcaina El Rapolao 2017, Bierzo, Raul Perez Le vin prend une 30aine de minute pour se mettre en place, joli nez de fruits rouges, fraise et framboise bien murs mais sans extrême, touche florale rafraîchissante. les épices arrivent plus le vin s'ouvre. La bouche est ronde et souple, peu de tannins, gourmand et équilibré, l'acidité se marie bien avec les fruits rouges murs, finale tout en fruit avec des tannins fins qui ressurgissent. 16.5+-17/20

Certains pauléens m'ont inspiré pour ouvrir gros (en $, grand on le sait pas d'avance !), Fabien m'a orienté vers celui-ci:

Griotte-Chambertin 2009, dom.des Chézeaux (Ponsot), 235$ en 2012.

Première fois que je déguste cette appellation, seul cru en cave, heureusement en jumelles.

Prise 1 avec neveu qui ne faisait que passer. Pnp. Robe vintage, dur à dire la couleur, comme pas rouge, mais rouge colère selon le nouveau poster des couleurs de Bouchard que j'ai dégoté !, pêche-tuile pour moi, peu soutenue, légèrement brique. Ça pinote ! Des petites baies rouges fraîches, cuir, feuilles mortes, petite puanteur près de la truffe. En bouche, très doux...Attaque délicate, souplesse de texture, fruité correct, mais c'est fou il évolue super vite dans le verre, la texture prend du gras "live" tout comme le fruité qui explose. Fascinant ! Passe en quelques minutes de c'est correct à c'est menum ! Grande finesse, finale sur le fruit acidulé et riche, empreinte de plénitude.

Prise 2, une heure plus tard après l'entrée, en soldat. Bouquet libéré de l'emprise du confinement: ça pinote à planche les petites baies rouges fraîches, rien de tertiaire ni de secondaire mais tout de même de la sagesse. En bouche, quintessence du pinot noir bourguignon: texture de velours, fruité frais, opulent, légèrement épicé, finale voluptueuse, élégante, harmonieuse. Ce vin est d'une jeunesse assumée et sage à la fois. J'attends sans crainte un autre 5-1o ans avant d'écluser sa jumelle.

Lendemain: âh grrr les bouquets du lendemain des vieilles pinottes, toujours inquiétant ! Fruits, feuilles, fragilité, fierté... La bouche tranche, comme toujours: il a perdu de sa grandeur et son âge le rattrape, ça demeure buvable mais avec peu de plaisir car selon moi il est en route vers ...l'oxydation.

Côtes du Rhône - Château de Fonsalette 2004 - Cuvée Syrah :

Ouverture le matin à 11:26
Bouchon présente un peu de vert de gris sur le dessus, rein de grave, belle qualité de bouchon, sain, dense et encore très étanche avec juste ce qu'il faut de porosité pour laisser respirer le rouquin, extrémité très foncée, notes de cassis...perso j'aime bien renifler mes bouchons...en France dans beaucoup de cercles c'est mal vu, mais je m'en tamponne. lol

Oeil : difficile à décrire, belle transparence, peu ou pas d'impureté dans le verre.
Très beau rouge éclatant, assez peu soutenu, je dirai entre carmin et lie de vin, mais moins foncé que du grenat.

Nez : tout de suite (même si encore un peu fermé) j'adore !!!
Déjà un peu évolué : fraise des bois, abricot, puis sous bois et champignon à l'aération.

Bouche : attaque douce, me parait un peu légère, milieu de bouche plus vineux mais manque un peu d'équilibre.
Finale (10-15 secondes) légèrement asséchante sur les deux-trois premières heures de dégustation.
Arôme assez discret à ce stade qui se développeront plus tard.
Acidité un peu trop présente à mon goût.

19:00 :
Bouche plus franche, notes poivrées, orange sanguine et réglisse et aussi de formidables notes d'abricot confit et de fumé à l'aération.
Plus équilibré et finale mieux encadrée.

J'ai noté qu'il n'avait peut être pas le côté rondouillard et un peu fringuant de la Clape 18 bu à ses côtés, mais c'est tellement long et fin que l'on se délesterai bien d'une autre bouteille.

Pour un simple Côtes du Rhône, je suis sur le cul, Bravo Mr Reynaud !!!

Pour finir, je dirai que on est ici sur un type de vin bien particulier, que je n'ai pas souvent retrouvé ailleurs à part sur certain pinot de la Côte de Nuits.
Une douceur en bouche, une patte, un style assez fin élégant, présent sur toute la gamme!
A boire dans les 2-3 ans.

Hi...je m'en rappelle pas Yves ! Mais c'est soit dans un CV ou soit à la LCBO, j'achète nulle part ailleurs. (certain que c'était pas en ip en tout cas)

J'ai retrouvé la facture: Vintage Classics LCBO.