Semaine du 8 Mars, vive les femmes! Surtout Michelle

Domaine Mas du Chêne, Cinsault Les Copains Débordent 2018, Costière de Nîmes: Couleur rubis, faible saturation.  Le nez est moyennement intense, notes pures de framboises, thé, pointes d'agrumes, très agréables.  La bouche suit en douceur, peu d'extraction, ca coule!  Beaucoup de fruit, peu de tanins, finale en fraîcheur et de bonne longueur.  16.5/20  Un vin de plaisir et de soif.  Tout le monde a aimé chez Quevedo. Payé 10 euros

Wow! Les années se suivent et ne se ressemblent pas! Merci Fred, c’est très gentil mais permet-moi d’accepter cet élan d’appréciation au nom de Stéphanie et de toutes les femmes passionnées comme nous qui aimeraient écrire et qui n’osent pas. PowerGirls!

Felicidades!

Évidemment il y a un peu d’ironie dans mon titre Je ne commenterai pas trop sur ce forum de vin, mais évidemment la femme doit avoir la place quelle mérite dans ce monde, et ne doit pas se sentir intimidée! C'est dommage si c'est ce qui freine une Joanie d'écrire ici.

Tu vois, au lieu de voir PowerGirls, j'aimerais mieux voir ''we're all equal'' Il y a probablement encore plus d'inégalité envers les femmes que les hommes, mais ça va dans les 2 sens.... voilà j'arrête là

Ne pas oublier aussi stephanie...

Jonathan Marquis a écrit:Ne pas oublier aussi stephanie...

Je voulais dire Stéphanie et j’ai écrit Joanie....mille excuses. Je corrige.

Jonathan Marquis a écrit:Ne pas oublier aussi stephanie...

Merci à mon preux chevalier Jonathan!

Quevedo Colheita 1995, Porto Le LBV 2006 que je planifiait ouvrir était bouchonné, on se rabat sur une bouteille rejeté de la chaîne d'embouteillage en raison d'un problème esthétique!  Couleur grenat/ambré, bonne saturation.  Il faut dire que le vin a été embouteillé en 2009.  Nez floral, fruits rouges/noirs confits(figues, cerises), noisette caramélisé, intense et précis.  La bouche est gourmande, sans manqué de fraîcheur.  On est dans l'oppulence des Tawny du Douro tout en maintenant une maîtrise de fraîcheur par ces notes d'agrumes confites.  Longue finale, vanillée, pleine d'agrumes et de cannelle.  Long, profond et complexe.  Un dépôt important aussi s,y présente.  Bref j'adore ces producteurs qui embouteillent leurs Tawny avec une vision et non pas un besoin de boire trop prochain.

P.S. Vinifié par le père, assemblé et embouteillé par sa fille Claudia.

Je ne noterai plus les vins de Quevedo comme j'y travaille maintenant.

Je suis fan des vins de Jamet. Ce n’est pas un secret pour personne. Je me suis ruée sur son Hautes vignes 2017 que j’ai reçu hier. Vignoble Jean-Luc Jamet Côte du Rhône Hautes Vignes 2017. La SAQ indique Hautes vignes mais l’étiquette parle plutôt de L’enclave 2017. Est-ce qu’il s’agit du même vin? Rouge cerise assez foncé aux reflets rosés et encore une fois avec un léger voile. Décidément, c’est la semaine du léger voile...Un nez sur la violette et la mûre où des notes animales ne demandent qu’à se libérer. Les épices ne viendront qu’en rétro. Bouche suave à l’acidité retenue. La bouche me fait penser à du Graillot: souple, sapide et saline. De la belle Syrah bien fraîche!

La cave, bien que fraîche et humide, me semble être un lieu particulièrement paisible aujourd’hui. J’y trouve cette bouteille qui me fait de l’œil depuis un moment :

Marquis d’Angerville Taillepieds volnay 1er cru 2011 : Couleur pâle, mais peu évoluée. Nez qui prend un peu de temps avant de s’exprimer, sur des notes de fruits rouges frais, de fleurs printanières avec des touches pierreuses et de crasse de fer. Le bouquet devient intense et profond à l’aération. La bouche est pleine et ample à l’attaque et en son milieu. Elle se resserre ensuite, tannique et minérale, et montre une certaine évolution aromatique, avec de fines notes de thé. La densité et l’éclat, de même que la complexité, étonnent toutefois pour une année modeste et le tout paraît encore jeune, en début de plateau serais-je tenté de dire. Des petits millésimes de même, amenez-en! Excellent.

À cause du Coronas machin et de la semaine qui finie tout croche, j'avais le goût de bien boire. Et bien première bouteille (Domaine & Sélection Beaune 1er Cru 2010) bouchonnée, je me rabats sur un:

Louis Jadot Savigny-lès-Beaune Les Lavières 1er Cru 2014
Couleur rubis de moyenne intensité. Arômes d'épices, puis de bois et ensuite vient le fruit et les notes de pierres concassées. En bouche les tanins sont un peu durs et secs, le vin austère et surtout sur les épices. Bref peu de plaisir pour moi en l'état. Je recommence avec une autre bouteille demain! Avoir su je me serais ouvert du Beaujo - non noté

Domaine Anne Gros, Nuits Saint-Georges, Les Damodes, 2013:
Robe cerise dens mais translucide;
Nez en finesse, élégance, sur un fruité des champs. L'aération apporte en avant plan des notes de sous-bois, les épices & un aspect floral complète le bouquet.
Belle bouche, en ligne avec le nez, élégante, en nuance, sur un fruité des champs (framboise & mûres) légèrement surette présent du début à la fin. Finale de bonne longueur, sur des notes épicées & salines. Splendide!

Une belle dégustation en demi-aveugle à l’amicale, hier, où les vins du Rhône étaient à l’honneur. Une note de 100% pour moi, il y a des soirs comme ça où nous pouvons nous péter les bretelles.

Premier services de 3 vins blancs:

1- Ferraton Père & Fils Condrieu 2016: jaune paille brillant. Nez de fleurs blanches et d’abricots. La bouche est ronde et mielleuse. Finale noisettée.

2- Tardieu-Laurent CNDP 2016:jaune paille brillant, le plus clair des trois. Fruits jaunes aux notes de coing. Complexité et équilibre au boisé élégant. Bouche suave avec une belle acidité qui lui donne une allonge kilométrique.

3- Guigal Hermitage 2016: ah! Guigal,Guigal, Guigal!  Je le reconnaîtrais à 100 milles à la ronde... Que voulez-vous, je suis incapable d’aimer Guigal. Jaune paille brillant, le plus foncé des trois. Un nez de butterscoch qui prend possession des lieux. Bouche suave presque grasse. Belle acidité. On passe à un autre appel.

Service assez facile: l’exubérance du viognier, le bois vulgaire de Guigal il ne restait que le Châteauneuf. Le préféré de la table et de loin le mien!

Deuxième service de 3 rouges méridionaux:

4- Domaine Beaurenard CNDP Boisrenard 2015: Cerise foncée au disque rosé. Le plus pâle des trois. Fruits rouges, mûres, kirsch, garrigue-thym. Je resterais suspendue à ce nez. Bouche fraîche et complexe à la fois aux tanins doucereux. Belle acidité et rétro de mûres et d’épices. Maudit que c’est bon!

Pas de chance pour les suivants...

5- Montirius Gigondas confidentiel 2016: cerise foncée au disque violacé. Un nez de tarte aux cerises arrosées d’alcool. Aucune définition. Du gros grenache au pays du soleil!

6- Domaine Le Sang des Cailloux Cuvée Lopy 2015: cerise foncée au disque rosé. 3 personnes à table ont parlé de « Brett ». Nous étions deux dissidents dont moi. Généralement, j’ai le pif pour ça mais là pas du tout. J’étais presque frustrées: est-ce que je passais à côté d’une telle chose? C’est niaiseux...Belle discussion sur les bretts. Bref, nous étions tous d’accord pour dire que le vin avait un défaut.

Deuxième service assez facile: le Châteauneuf s’est isolé facilement avec une belle définition du vin, le gros fruit a trahi le Gigondas. Il ne restait que le Vacqueras. Le Châteauneuf a fait un circuit encore une fois!  

Troisième service de 3 rouges septentrionaux et la prise de notes a pris le bord...

7-Tardieu-Laurent Cornas Coteaux 2016: cerise très foncée au disque violacé. Premier nez de goudron, bizarre. Et puis, les fruits rouges très concentrés. C’est dense et austère. Beaucoup de potentiel.

8- B et D Duclaux Côte-Rôtie La Germaine 2015: cerise noire et disque rosé. Le plus pâle des trois. Perso, je n’ai jamais vraiment « trippé »  sur Duclaux. Un Côte-Rôtie sans violette et épices...à la bouche simple et courte.

9- J.L Chave Hermitage Farconnet 2014: cerise noire au disque rosé. Le plus défini des trois. Belle équilibré à l’acidité bien dosé. Mon préféré.

Troisième vague assez facile: Duclaux s’est peinturé dans le coin avec sa couleur plus pâle, Tardieu n’a pas su caché l’austérité du Cornas, il ne restait que l’harmonie de l’Hermitage.

Une belle soirée aux coudes à coudes!

Parce que, tout simplement:

Frederic Savart L'Ouverture Premier Cru Brut
Couleur doré assez prononcé. Arômes de pain / brioche, une impression de petits fruits rouges, côté salin et légèrement épicé. Bouche grasse, ronde et goûteuse avec de fines bulles vives. Saveurs dans le même registre qu'un nez, bonne longueur ou il y a quand même de la fraîcheur. Un style de champagne que j'aime bien. Excellent (91)

Dégorgement août 2017
100% Pinot noir
Dosage à 7g/l
12,5% d'alcool

Patrick, j’aime bien Savart aussi et pour la même raison que toi, nous avons bu :

Comtes Lafon Charmes meursault 1er cru 2010 : Couleur intense, mais brillante. Nez assez baroque sur des notes de fruits blanc et jaune avec un peu d’élevage, une minéralité chaude et du maïs en crème. La bouche suit, à l’attaque du moins et surtout au début, se montrant généreuse et texturée. La finale est d’ailleurs marquée au départ par le popcorn au beurre. Le caractère pierreux du vin, de même que son impressionnante longueur, se dévoileront dans le temps et avec de l’air. On dirait que le vin rajeunit et se tend à l’aération, révélant sa réelle nature de Charmes-Dessus, sans pour autant manquer de concentration ou de densité. Un vin que j’aurais du carafer, dont le dernier tiers s’est révélé spectaculaire, à la hauteur de sa réputation. Superbe.

Vincent Messier-Lemoyne a écrit:Patrick, j’aime bien Savart aussi et pour la même raison que toi, nous avons bu :

Comtes Lafon Charmes meursault 1er cru 2010 : Couleur intense, mais brillante. Nez assez baroque sur des notes de fruits blanc et jaune avec un peu d’élevage, une minéralité chaude et du maïs en crème. La bouche suit, à l’attaque du moins et surtout au début, se montrant généreuse et texturée. La finale est d’ailleurs marquée au départ par le popcorn au beurre. Le caractère pierreux du vin, de même que son impressionnante longueur, se dévoileront dans le temps et avec de l’air. On dirait que le vin rajeunit et se tend à l’aération, révélant sa réelle nature de Charmes-Dessus, sans pour autant manquer de concentration ou de densité. Un vin que j’aurais du carafer, dont le dernier tiers s’est révélé spectaculaire, à la hauteur de sa réputation. Superbe.

Boire de plus en plus de vins natures a développé un réflexe maintenant bien encré: je carafe presque tout maintenant, du plus petit au plus grand, pour éviter les « j’aurais du ».

Michelle Champagne a écrit:

Boire de plus en plus de vins natures a développé un réflexe maintenant bien encré: je carafe presque tout maintenant, du plus petit au plus grand, pour éviter les « j’aurais du ».

Je n'ai pas pris cette habitude là encore et pourtant j'en bois pas mal de vins natures. J'avoue ne pas détester un peu (je dis bien un peu...) de funk dans le vin et j'aime bien suivre le vin dans le temps, buvant régulièrement seul et sur une soirée complète...

Vincent Messier-Lemoyne a écrit:Patrick, j’aime bien Savart aussi et pour la même raison que toi, nous avons bu :

Faut bien le boire tout ce vin là et aussi bien en boire du bon

Un duo de Talbot hier soir. Des bouchons complètement imbibés, des niveaux tout juste en bas du goulot et peu de dépôt dans les 2 vins. Nous avions prévu boire dans l'ordre, soit le 1983 suivi du 1985. À l'ouverture des 2 bouteilles, le plan a changé..

Château Talbot 1985: Une robe évoluée au pourtour orangé. Graphite, notes grillées, tabac et terre humide au nez. Une bouche évoluée, un peu osseuse, sur des notes terreuses. Une bonne acidité en milieu de bouche vient toutefois rendre le tout plus agréable. La finale est toutefois de belle longueur. Une bouteille sur le déclin mais l'expérience ne fut pas nécessairement désagréable. 88+ pts.

Château Talbot 1983: À l'ouverture, un nez net mais léger goût de bouchon. J'avais bon espoir que cela se dissipe après un petit coup de carafe. La magie a opérée. Une robe tout aussi évoluée que le 85. Le nez est magnifique sur la cerise noire, le cassis, l'encens et des notes fumées envoûtantes. Une bouche riche, hyper veloutée, aux tannins fins et tendres. Le vin renferme encore une belle matière. 37 ans le Monsieur mais en grande forme. 91 pts.

François Guyot a écrit:Un duo de Talbot hier soir. Des bouchons complètement imbibés, des niveaux tout juste en bas du goulot et peu de dépôt dans les 2 vins. Nous avions prévu boire dans l'ordre, soit le 1983 suivi du 1985. À l'ouverture des 2 bouteilles, le plan a changé..

Château Talbot 1985: Une robe évoluée au pourtour orangé. Graphite, notes grillées, tabac et terre humide au nez. Une bouche évoluée, un peu osseuse, sur des notes terreuses. Une bonne acidité en milieu de bouche vient toutefois rendre le tout plus agréable. La finale est toutefois de belle longueur. Une bouteille sur le déclin mais l'expérience ne fut pas nécessairement désagréable. 88+ pts.

Château Talbot 1983: À l'ouverture, un nez net mais léger goût de bouchon. J'avais bon espoir que cela se dissipe après un petit coup de carafe. La magie a opérée. Une robe tout aussi évoluée que le 85. Le nez est magnifique sur la cerise noire, le cassis, l'encens et des notes fumées envoûtantes. Une bouche riche, hyper veloutée, aux tannins fins et tendres. Le vin renferme encore une belle matière. 37 ans le Monsieur mais en grande forme. 91 pts.

1985 étant une meilleure année que 1983 selon les chartes, le résultat est étonnant. Par contre, Parker recommandait de boire le 1985 avant le 1983. La dégustation de Pierre risque d’être vraiment intéressante.

Patrick Ayotte a écrit:

Michelle Champagne a écrit:

Boire de plus en plus de vins natures a développé un réflexe maintenant bien encré: je carafe presque tout maintenant, du plus petit au plus grand, pour éviter les « j’aurais du ».

Je n'ai pas pris cette habitude là encore et pourtant j'en bois pas mal de vins natures. J'avoue ne pas détester un peu (je dis bien un peu...) de funk dans le vin et j'aime bien suivre le vin dans le temps, buvant régulièrement seul et sur une soirée complète...

De mon côté, j’ai un peu de difficulté avec le CO2 des vins natures. Un de mes amis utilise le vacu-vin ....De plus, j’ai pris beaucoup de temps à apprécier les vins natures et leurs petits fruits primaires. La carafe permet au vin de libérer une certaine complexité. Le vin a besoin d’air. J’en échappe encore car il est beaucoup plus facile de ne pas carafer.

Je carafe aussi souvent les vins jeunes et peut-être plus les blancs que les rouges … mais jamais je n'aurais pensé le faire avec un Lafon de 10 ans!

Michelle Champagne a écrit:

François Guyot a écrit:Un duo de Talbot hier soir. Des bouchons complètement imbibés, des niveaux tout juste en bas du goulot et peu de dépôt dans les 2 vins. Nous avions prévu boire dans l'ordre, soit le 1983 suivi du 1985. À l'ouverture des 2 bouteilles, le plan a changé..

Château Talbot 1985: Une robe évoluée au pourtour orangé. Graphite, notes grillées, tabac et terre humide au nez. Une bouche évoluée, un peu osseuse, sur des notes terreuses. Une bonne acidité en milieu de bouche vient toutefois rendre le tout plus agréable. La finale est toutefois de belle longueur. Une bouteille sur le déclin mais l'expérience ne fut pas nécessairement désagréable. 88+ pts.

Château Talbot 1983: À l'ouverture, un nez net mais léger goût de bouchon. J'avais bon espoir que cela se dissipe après un petit coup de carafe. La magie a opérée. Une robe tout aussi évoluée que le 85. Le nez est magnifique sur la cerise noire, le cassis, l'encens et des notes fumées envoûtantes. Une bouche riche, hyper veloutée, aux tannins fins et tendres. Le vin renferme encore une belle matière. 37 ans le Monsieur mais en grande forme. 91 pts.

1985 étant une meilleure année que 1983 selon les chartes, le résultat est étonnant. Par contre, Parker recommandait de boire le 1985 avant le 1983. La dégustation de Pierre risque d’être vraiment intéressante.

Michelle, je ne suis vraiment pas étonné par ce résultat. Le millésime 85 est réputé pour avoir produit des vins fins et délicats moins propice à la longue garde. Le millésime 83, passablement plus tannique, résiste mieux au passage du temps.

Mon premier cr d'un voyage magnifique, malgré l'inquiétude mondiale qui grandissait de jour en jour...

SOUPER AU FIL DU ZINC - Chablis (3/8/2020)

Le début d'un périple inoubliable en Bourgogne, avec le Covid-19 comme toile de fond. Natacha, le Baron, Karl et moi avions rendez-vous dans ce classique chablisien, qui vit ses dernières semaines avec l'équipe de Fabien, qui passera les reines à une nouvelle équipe en avril.

• 2014 François Raveneau Chablis 1er Cru Butteaux - France, Burgundy, Chablis, Chablis 1er Cru
  
  Nez discret un peu citronné, des notes de cire. La bouche est puissante et profonde, d’une densité d’acier, avec tout de même un gras notable. Beaucoup de matière et de tension. Un magnifique vin à revoir dans 4-5 ans. 92-93+ (93 points)
  


• 2012 François Raveneau Chablis Grand Cru Valmur - France, Burgundy, Chablis, Chablis Grand Cru
  
  Nez de lime, de menthe, avec un peu de conifère. Puissant et droit, salin mais un peu chaleureux en finale. À l’aération, il est très citronné et s’ouvre davantage, mais c’est un coureur de fonds. On préfère le Butteaux à ce stade, 92-93++ (93 points)
  


• 2010 Domaine Christian Moreau Père et Fils Chablis Grand Cru Les Clos Clos des Hospices dans Les Clos - France, Burgundy, Chablis, Chablis Grand Cru
  
  Nez de champignon, des notes d'agrumes subtiles, d'embruns marins. Ensuite, tout se passe en bouche: à la fois fine et puissante, extrêmement saline en finale. C'est complexe et savoureux, d'une longueur aromatique phénoménale. Grand vin. 95 pts (95 points)
  


• 2015 Domaine Robert Arnoux / Arnoux-Lachaux Vosne-Romanée - France, Burgundy, Côte de Nuits, Vosne-Romanée
  
  Nez très charmeur avec ensuite un côté un peu boisé, mais c'est juteux et mûr, avec un bel équilibre, beaucoup de classe. 91 pts (91 points)
  


• 2013 Nicolas Rossignol Volnay 1er Cru Santenots - France, Burgundy, Côte de Beaune, Volnay 1er Cru
  
  Nez magnifique très floral, j’hésitais alors avec une côte rôtie, par contre la bouche faisait beaucoup plus pinot et avec un peu de chance, j'ai trouvé l'appellation. Bouche élégante, un peu boisée, de beaux tanins gommeux. Beau potentiel, revoir dans trois ans. 91+ (91 points)
  

Passer les reines … pour garder le baron?

Merci pour ce CR qui donne envie de Chablis.

Vincent Messier-Lemoyne a écrit:Passer les reines … pour garder le baron?

Merci pour ce CR qui donne envie de Chablis.

Bien vu !